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Isaac June Linst

Nom et prénom(s) : Linst, Isaac. Deuxième prénom, June.
Date de naissance et âge : 18 Février 1984 . 26 ans.
Lieu de naissance et de résidence : Né à Seattle et vit à San Diego.
Statut : Marié.
Groupe : great happiness.

Pseudo : Gaby ( pour Gabriel, trucduk )
Sexe : Mascoulin.
Avatar : Jude Law.
Scénario ou inventé : Inventé.
Code : rira bien qui rira le dernier.
Comment avez-vous connu STC ? il était DTC.
Commentaires : je suis fou, ne m'en voulez pas.

Caractères : par sa femme. Isaac est un personnage qui ne se prend pas la tête. Il demeure calme et reposé malgré des situations parfois embarrassantes. Monsieur n'aime pas les disputes - conjugales ou amicales - et se retrouve souvent comme jouant le rôle de la tranche de jambon entre les deux bouts de pain. Vous savez, celui qui n'ouvre pas sa bouche mais qui en aurait tant à dire sur vos sales gueules. Car au fond, Isaac a toujours été révolutionnaire et indépendant, ce qui a beaucoup joué en sa défaveur deurant son enfance. Rejetté des groupes à cause de cette attitude je m'en foutisme et de sa franchise excessive, il a finalement appris à se taire. A tout garder en lui. C'est un individu créatif et souvent dans la lune, méditant sur un monde meilleur. Son monde. Il vous avouera être passionné de musique, puisqu'il fut batteur dans un groupe lorsque l'adolescence le frappait de plein fouet. Un être ne sachant pas user de son charme fou pour attirer les demoiselles. Oui oui c'est marié, mais il a le droit de s'amuser.
Manies, tics : Jude remonte toujours ses lunettes du côté gauche, alors qu'il est droitier. Il mange des céréales différentes le jeudi. Il claque des doigts, même en dormant. Quand il réfléchit, il a la bouche ouverte.

Anecdote(s) : bibibip.bibibip. ▬ Victoria spectacle. Merde.
Le portable à la main, les yeux rivés sur celui-ci, Isaac ne savait quoi faire entre se suicider et faire comme si de rien n'était. Il allait manquer le spectacle de danse de sa fille, encore une fois. Il s'était juré de s'y rendre. Angoisse. Sa femme, Sally Linst, risquait de ne pas être heureuse du tout d'apprendre que le cher père de ses enfants ne pourraient pas assister à l'évenement le plus émouvant mais aussi important de la petite Victoria. Soupir. Isaac s'effrondra sur son siège, et jeta un coup d'oeil à l'horloge de l'écran de veille de son ordinateur. Huit heures moins cinq. C'était foutu. Fallait-il qu'il appelle sa dulcinée ? Le faire serait preuve d'une quelconque existence de sado-masochisme en lui. La seule chose à faire était de rester dans son bureau, patientant jusqu'à l'appel sanglant de sa femme. Dure la vie. Et pourtant, June repête et se vante à qui souhaite l'entendre que sa vie est parfaite. Il a bien raison.

bipbipbip.bipbipbip. Silence. Isaac fixa le téléphone pendant quelques secondes à peine, et se rua sur celui-ci. Bouton vert, le jugement dernier, ce n'était pas une légende. Cependant, Isaac ne prêta aucune attention aux reproches de sa femme. Tout ce qu'il désirait entendre était le doux timbre de sa voix, simple échantillon d'une demoiselle remarquable, sensible et terriblement charmante. Sally.
▬ June. Bon, je sais que tu es au boulot, ne mens pas. Mais je t'informes quand même que le spectacle de ta fille commence dans cinq minutes ! Oui, tu as une fille et je fais bien de te le rappeller. Bon, tu comptes faire quoi ? Dormir sous tes lauriers et ne pas venir ? Eh bien non mon cher, tu vas ram'ner ton postérieur et tout de suite. ... Bon, je filmerai de toute manière.
▬ Je t'aime Sally, tu sais ?

Et il raccrocha. Ses deux enfants ne lui en voudrait pas, il en était sûr. Etant docteur, il passait plus de temps dans son cabinet que dans sa salle de bains. Cela frustrait Sally mais elle-même étant très occupée, elle comprenait parfaitement qu'Isaac ne soit pas beaucoup présent, ce qui n'empêche pas la famille de sortir le week-end pour jouer au football. Quelle vie tranquille et sans emcombres. Franchement, vous l'enviez. Je le sais. Une femme formidable, des enfants exemplaires, vous désirez le même festin ! Et bien non. Désolé de vous décevoir, mais ceci est la vie d'Isaac, pas la vôtre. Si vous parvenez à obtenir la même vie que lui, chapeau. Tout lui réussit, et cela se fait sentir.

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